Ville de Gatineau
Budget de 2024
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Budget de 2024
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Faits saillants du budget

Améliorations et bonifications des services à la population

Pour les opérations hivernales

  • 590 800 $ pour optimiser les opérations de soufflage
  • 225 600 $ pour optimiser le déblaiement des pistes cyclables
  • 191 800 $ pour optimiser le déneigement des bornes d'incendie
  • 147 800 $ pour optimiser la gestion des panneaux d'interdiction de stationnement temporaire (postes dédiés à la coordination et à l'installation des panneaux)

Pour les familles, les aînés et les personnes handicapées

Une bonification de 190 000 $ qui permettra d'investir davantage, à titre d'exemple, dans :

  • Le développement de partenariats afin d'offrir des activités inclusives et/ou intergénérationnelles;
  • Le développement d'une stratégie de formation et des outils de sensibilisation pour les employés municipaux concernant, entre autres, les mesures d'intégration et d'accessibilité universelle;
  • Le développement d'une stratégie de diffusion d'outils de communication variés et inclusifs, en langage simple et clair, afin de promouvoir les différents services, programmes, actions et activités;
  • Le soutien et l'élargissement du déploiement de la trousse Entoure-Toit, qui favorise le maintien et le sentiment de sécurité à domicile auprès des personnes aînées et des personnes handicapées.

Pour le plein air urbain

Une bonification de 916 000 $ qui vient s'ajouter au budget déjà existant de 550 000 $ pour :

  • Renouveler les ententes de partenariats avec quatre partenaires pour six sites de plein air;
  • Bonifier les ententes actuelles pour y inclure l'entretien des sites actuels et futurs;
  • Développer de nouveaux sites de plein air.

Pour la culture

Une bonification de 800 000 $ qui vient s'ajouter au budget déjà existant de 1 000 000 $ permettant d'ajouter les actions suivantes :

  • 225 000 $ pour développer et/ou soutenir l'offre d'activités et de médiation culturelles afin d'assurer l'inclusivité des clientèles marginalisées et vulnérables;
  • 100 000 $ pour développer une stratégie d'intervention en animation et en médiation dans les bibliothèques qui notamment met à profit les organismes en vue d'améliorer la littératie et la littératie numérique des citoyens;
  • 100 000 $ pour améliorer la promotion et la diffusion des activités culturelles;
  • 75 000 $ pour assurer les suivis de la politique culturelle, comme les indicateurs de rendement;
  • 50 000 $ pour bonifier l'entente régionale avec le Conseil des arts et des lettres du Québec;
  • 50 000 $ pour bonifier l'entente avec Culture Outaouais (ajout de mandats);
  • 50 000 $ pour soutenir les artistes locaux dans les programmations de la Ville ainsi que le rayonnement de ces artistes sur l'ensemble du territoire gatinois et à l'extérieur de Gatineau;
  • 50 000 $ pour soutenir le développement de la relève culturelle et des artistes issus de la diversité ainsi que les initiatives émergentes en culture;
  • 50 000 $ pour développer une vision et un cadre d'intervention pour l'art public afin d'assurer un développement cohérent sur l'ensemble du territoire;
  • 50 000 $ pour mener des projets de définition identitaire (patrimoniale) pour mettre en valeur notamment le patrimoine des communautés culturelles gatinoises.

Actions pour le climat

Plan climat

Un investissement de 3 800 500 $ permettra de :

  • Mettre en œuvre les mesures de captation et/ou de réutilisation issues des études réalisées sur le site Cook;
  • Développer un programme participatif pour financer des projets proposés et choisis par la population (bonification du programme écogestes);
  • Poursuivre :
    • Le projet de conversion du chauffage au gaz vers de l'électrique à l'atelier municipal du secteur de Gatineau afin de réduire l'effet d'îlot de chaleur associé à celui-ci;
    • La décarbonisation du parc immobilier municipal et le développement des accès publics pour la recharge des véhicules électriques;
    • Les projets d'électrification et de mesures d'efficacité énergétique de la flotte de véhicules municipaux.

Plan de gestion de l'eau 2024-2029 

Un investissement de 1 100 000 $ contribuera à :

  • Évaluer la qualité de l'eau des lacs et des cours d'eau;
  • Développer un processus encadrant la gestion des cours d'eau afin de favoriser leur résilience;
  • Améliorer le site du ruisseau de la Brasserie;
  • Diminuer la présence d'eau colorée dans les résidences de Gatineau.

Plan d'action de la biodiversité 2024-2028

Un investissement de 1 062 500 $ aidera à :

  • Dresser un portrait de la situation des milieux naturels existants;
  • Créer un plan de conservation pour le parc du Lac-Beauchamp;
  • Déterminer une trame verte et bleue;
  • Agir proactivement afin de freiner le déclin des pollinisateurs sur le territoire;
  • Réduire l'utilisation des pesticides.

Plan de foresterie urbaine 2023-2030 

Une bonification de 270 000 $ permettra de :

  • Déployer une stratégie d'amélioration continue de l'entretien et de la plantation d'arbres;
  • Rédiger un programme ambitieux de plantation d'arbres adapté aux communautés et visant un indice de canopée minimal de 30 %;
  • Bonifier les programmes de donation d'arbres et favoriser la participation des citoyens de communautés ayant un faible indice de canopée.

Aux améliorations de services s'ajoute une bonification au protocole d'entente avec la Société pour la prévention de la cruauté envers les animaux de l'Outaouais dans le but d'offrir un service de qualité aux citoyen(ne)s sur une longue durée, qui permettra à l'organisme d'assurer le bien-être animal et de bénéficier de revenus stables et prévisibles.

Investissements significatifs dans les infrastructures

Plan d'investissements 2024-2026 – volet maintien

Total des investissements : 705 M$, dont 237 M$ en 2024

Le Plan sera financé par différentes sources, dont le fonds dédié qui se poursuit à l'équivalent de 1 % des revenus de taxes financé par la dette, des règlements d'emprunts, des subventions, la réserve cycle de vie et une hausse de la taxe sur les terrains vagues desservis. De plus, la mise en place d'une nouvelle taxe sur les parcs de stationnement nous permettra de bonifier les investissements en infrastructure.

Ce plan comprend la poursuite de plusieurs projets majeurs en cours et des investissements supplémentaires, soit :

  • 193 M$ sur une période de quatre ans allant jusqu'en 2025, auxquels s'ajouteront 37 M$ en 2026, pour le programme de réfection du réseau routier comprenant, entre autres, le pavage, l'aménagement de trottoirs et la réfection de ponts;
  • 155 M$ de 2024 à 2026 pour la réfection des réseaux d'aqueduc et d'égout, dont :
    • 31 M$ pour la poursuite du projet du boulevard Saint-Joseph;
    • 5 M$ pour la finalisation du réaménagement de la rue Notre-Dame.
  • 18 M$, dont 15 M$ en 2024, pour la construction d'un nouveau point de service de la police dans le secteur ouest de la ville (Aylmer);
  • 14 M$ en 2024, 12 M$ en 2025 et 19 M$ en 2026 pour le remplacement de véhicules et de machinerie pour les travaux publics et les services de police et d'incendie;
  • 12 M$ en 2024, 7 M$ en 2025 et 8 M$ en 2026 pour le plan directeur informatique 2023-2027, qui vise à mieux outiller la Ville face aux enjeux de la sécurité et à améliorer le service à la population;
  • 5 M$ en 2024, 6 M$ en 2025 et 9 M$ en 2026 pour le plan de financement pour les interventions associées à la situation relative à la coloration de l'eau;
  • 8 M$ répartis en 2024 et 2025 pour le prolongement du boulevard d'Europe pour desservir l'école 038.

À cela s'ajoute la poursuite des investissements pour réduire les impacts des pluies importantes comprenant des projets tels que :

  • 21 M$ en 2024 et 2025 pour le bassin de rétention de la zone blanche et l'urbanisation du chemin de Chambord;
  • 16 M$ de 2024 à 2026 pour les travaux correctifs de drainage au secteur Wychwood.

Sommaire des revenus et dépenses

Discours de la mairesse

Monsieur le président,

Ce soir, nous adoptons le budget 2024 de la Ville de Gatineau. Ce processus démocratique, qui a été rigoureux et qui s'est étendu sur plusieurs mois, touche enfin à sa fin. Je tiens à remercier toutes les personnes qui y ont contribué, de près ou de loin.

Ces remerciements, je tiens aussi à les exprimer à nos équipes municipales qui naviguent avec beaucoup de résilience et de professionnalisme. Merci. Lors de l'étude budgétaire du mois dernier, un travail considérable a été réalisé. Le comité exécutif avait formulé plus de 45 recommandations, auxquelles se sont ajoutées des demandes de changements et d'amendements déposées par les membres du Conseil. Cela témoigne de notre engagement collectif. Ce budget n'est donc pas celui de la mairesse ni celui du comité exécutif; il appartient au conseil municipal. Il reflète notre constante attention envers les citoyens et les citoyennes. J'ai sentie autour de cette table, une grande sensibilité face au contexte économique difficile auquel nous sommes tous confrontés.

Il est important de rappeler que les discussions budgétaires ont commencées en juin dernier. Les demandes des élus ont été abordées en amont, lors des caucus sectoriels avec l'équipe administrative. De plus, l'ensemble des membres du conseil, incluant les membres du nouveau comité des finances, ont été invités à prendre part aux délibérations budgétaires du comité exécutif.

Les documents de travail ont été préalablement partagés en vue de la semaine d'étude budgétaire, qui s'est déroulée du 30 octobre au 3 novembre derniers. Cette séance publique, en présence des médias et diffusée en direct sur le Web, a permis d'approfondir les enjeux et solutions, offrant à tous une vision claire de la santé financière de notre ville. Ce fut, une fois de plus, une occasion d'apprécier le travail des comités et commissions et de tenir les débats de fond sur les choix à faire dans le cadre de ce rendez-vous, annoncé presque 1 an à l'avance. Cette semaine est aussi importante pour donner des orientations claires à notre administration afin qu'elle puisse fournir l'information, les données et les chiffres, qui nous permettent de présenter un budget équilibré. C'est là tout son objectif. Gatineau se distingue par sa transparence, une pratique que nous devons non seulement célébrer, mais aussi préserver.

Il y a certainement d'autres améliorations à faire pour renforcer l'efficacité et mieux capter les préoccupations des élus pour la préparation budgétaire et cette réflexion-là sera faite en prévision du prochain exercice.

Trouver une position d'équilibre dans le déséquilibre pour le citoyen

Les gens de Gatineau, et c'est le cas ailleurs au Québec, sont confrontés à d'importants déséquilibres. En plus de l'augmentation de l'inflation qui nous frappe et des taux d'intérêt qui ont monté en flèche, on fait face à une crise du logement sans précédent, à une augmentation alarmante de l'itinérance et à une augmentation des recours aux services de dépannage alimentaire dans la région1.

Dans le déséquilibre, il y a aussi l'argent que les villes du Québec, comme Gatineau, injectent dans des champs de compétence qui ne sont pas les leurs. Par exemple fournir des terrains scolaires au Gouvernement du Québec pour construire les écoles. J'insiste, on est heureux de voir des écoles pousser dans nos quartiers. On ne croit toutefois pas que c'est à nous de dépenser des millions pour ça.

Le déséquilibre on le vit, et on le subit aussi en transport. Un déséquilibre engendré par une pandémie dont on fait encore les frais. La Société de transport de l'Outaouais (STO) peine à récupérer son achalandage, même si cela progresse et fait face à un déficit structurel récurrent. Je rappelle que 10 % du budget de la Ville, soit plus de 80 M$, sont consacrés uniquement à notre transporteur public.

Quand on travaille un budget municipal, il faut prendre en considération la charge sur les épaules de nos citoyens et aussi de nos citoyens corporatifs.

Gatineau a été la première grande ville à présenter un nouveau rôle d'évaluation foncière dans un contexte post-pandémique où le marché immobilier a considérablement évolué au cours des trois dernières années. Ce nouveau rôle, qui ne génère aucun revenu additionnel directe pour la Ville, a des répercussions significatives : uniquement dû à l'effet du nouveau rôle, près de deux tiers des propriétés verront leurs taxes augmenter, de même que 8 commerces sur 10. C'est du jamais vu.

Ça, c'est un vrai choc tarifaire. Et il était évident qu'il fallait en tenir compte dans une vision macro.

Dans les dernières semaines, j'ai saisi toutes les occasions de  faire valoir la situation de Gatineau auprès du Gouvernement du Québec et à proposer des pistes de solutions pour aider les citoyens. Ce travail, je le fais alors que nous sommes au cœur d'une refonte de la Loi sur la fiscalité municipale au Québec, le projet de loi 39. Dans le budget 2024, nous avons déjà tenu compte des augmentations provenant du point de croissance de la taxe de vente du Québec (TVQ). Il s'agit d'ailleurs d'un montant considérable qui passera de 3 à 14 millions de dollars en 2024. Ces 11 millions représentent à eux seuls, pour vous donner un ordre de grandeur, l'équivalent de 2 % de taxe. C'est un gain qu'on accueille volontiers dans le contexte que l'on vit.

Dans tout ce déséquilibre, les membres du conseil municipal ont donc jonglé avec un défi immense : trouver une position d'équilibre :

  • Équilibre pour répondre aux attentes des citoyens en matière d'infrastructures sportives, récréatives et culturelles;
  • Équilibre pour maintenir et entretenir nos infrastructures existantes, notamment notre réseau routier;
  • Équilibre pour avancer sur les projets déjà amorcés tout en contrôlant les coûts;
  • Équilibre aussi avec un taux de taxe raisonnable qui tient compte de la capacité de la Ville à livrer les services pour lesquels on vous demande de payer. Ce qu'on vient chercher dans vos poches, on veut savoir QUAND ça se déploie sur le terrain;
  • Équilibre quant à l'ajustement des tarifications pour mieux refléter le marché et nos objectifs d'éco-fiscalité.

L'écosystème dans lequel nous évoluons présentement relève presque du funambulisme.

Développer des infrastructures et maintenir des services dans ce contexte inflationniste a exigé des acrobaties, des efforts considérables et une grande agilité lors de l'élaboration de ce budget.

Nous avons veillé à limiter l'augmentation des taxes résidentielles à 2,9 % et celle des taxes non résidentielles à 3,9 %, démontrant une approche responsable pour préserver nos opérations sans excès et en optimisant chaque dollar dépensé. Ces augmentations sont conformes au Plan décennal financier de la Ville. Comparativement à d'autres villes telles que Laval, Montréal et Québec, nos propositions restent compétitives malgré ces défis.

On présente aujourd'hui, un budget équilibré avec une croissance de près de 8 % par rapport à l'année dernière, pour un montant total de 803,5 millions de dollars.

La Ville continue de maintenir un faible taux de service de la dette, le plus bas parmi les grandes villes du Québec.

Amélioration de services aux citoyens

Ce budget nous permet aussi de maintenir tous nos services en 2024, mais également de les améliorer. La Ville de Gatineau, quatrième ville en importance au Québec, investit pour accroître sa capacité à répondre aux attentes de nos citoyens. Permettez-moi de vous donner quelques exemples concrets :

  • 3 millions supplémentaires dans le transport en commun. Ça, c'est pour aider notre Société de transport de l'Outaouais (STO);
  • 5 millions supplémentaires dans les travaux publics. Ça, c'est pour les opérations de soufflage, de déneigement des rues et des trottoirs, de déblaiement du réseau cyclable aussi. Depuis les dernières heures, on vit de nouvelles normes de service en matière de déneigement. Nous ajoutons des ingénieurs, des coordonnateurs et d'autres ressources pour livrer nos services;
  • 7 millions de plus en sport, loisir et culture. Ça, c'est pour financer notre nouvelle politique culturelle, pour financer des partenariats avec les organismes du milieu du plein air et pour financer notre plan d'action destiné aux familles, aînés et personnes handicapées, notamment;
  • 7 millions de plus en environnement. Ça, c'est pour notre Plan climat, entre autres, pour la gestion de l'eau, la biodiversité et la foresterie urbaine et pour notre nouveau Service de transition écologique;
  • 10 millions additionnels en service policier et pompier. Ça, c'est pour plus de sécurité dans nos quartiers alors que notre ville est en croissance;
  • 17 millions supplémentaires pour un total de 104 millions que nous injectons directement dans les infrastructures, incluant notre engagement à résoudre rapidement des problématiques telles que l'eau colorée dans certains secteurs de la ville.
  • On met quelques millions de plus dans notre réseau routier. Les montants de 190 M$ qui étaient prévus sur 4 ans sont conservés jusqu'à la fin du mandat en 2025. On reconnaît toutefois que les besoins de notre réseau routier sont cependant plus grands que le budget disponible. On doit composer avec une explosion des coûts : c'est trois fois plus cher asphalter aujourd'hui qu'en 2019... Mais je veux quand même vous rassurer que dans la grande enveloppe des investissements, il y a quand même 705 M$ dans les infrastructures notamment, la réfection du réseau routier, des réseaux d'aqueduc et d'égout.

On continue la transformation pour livrer plus d'infrastructures

Tout n'est pas une question d'argent. C'est aussi une question d'organisation du travail pour que l'argent de vos taxes arrivent le plus rapidement possible sur le terrain dans des projets concrets. D'ailleurs, les changements récents au Service des infrastructures et la création de 17 nouveaux postes visent justement à renforcer nos capacités de livraison. Cette transformation implique aussi que chaque projet d'envergure s'appuiera désormais sur un vrai plan d'affaires. Il est essentiel de savoir, de voir et de reconnaître qui sont les partenaires potentiels avec qui travailler, quel serait le meilleur montage financier, quelles sources de subventions sont possibles pour créer des effets de levier ou pour réduire les risques. Il faut savoir combien ça peut vraiment coûter et comment on peut mieux livrer.

Un budget en phase avec la capacité de payer

Je suis satisfaite de ce troisième budget du mandat. Je suis consciente qu'un budget n'est jamais parfait. Ce conseil a trouvé cependant une position d'équilibre dans le déséquilibre : un équilibre entre les besoins de croissance et la capacité financière de la Ville, à l'avantage des citoyens.

Je tiens à rappeler que ce conseil municipal a investi plus de 12 millionsi de dollars dans l'amélioration des services au cours des trois derniers budgets, y compris celui-ci. Cela représente deux fois plus d'argent que ce qui a été investi lors du précédent mandat, parce qu'il faut investir dans une ville en croissance pour offrir des services de qualité. Ces services, on vous les offre en s'assurant de garder et d'attirer des talents au sein de l'organisation. Parce que Gatineau, ça se vit ici! Nous restons fidèles à nos objectifs du programme du conseil et nous sommes alignés avec notre plan financier à long terme, notre carte maitresse pour nos investissements, couvrant la période de 2023 à 2032.

Il faut continuer à soutenir la croissance de notre ville tout en préservant notre santé financière.

Merci, et bonne soirée

France Bélisle
Mairesse

1 Une crise du logement sans précédent, avec un taux d'inoccupation de 0,8 % et les prix les plus élevés pour un logement 4 et demi au Québec; L'augmentation alarmante de l'itinérance, en hausse de 268 % au cours des dernières années; Une augmentation de 24 % des recours aux services de dépannage alimentaire dans la région, touchant une personne sur cinq travaillant mais nécessitant une assistance alimentaire.

i Des investissements de 12 349 000 dollars pour améliorer les services dans les budgets de 2022 à 2024. En comparaison, le conseil avait investi seulement 4,7 millions de dollars entre 2018 et 2021, ce qui représente une augmentation de plus de 262 %.

À propos de Gatineau

Reconnue pour sa qualité de vie, Gatineau est une ville de 292 000 habitants. Elle est située sur la rive nord de la rivière des Outaouais, et s'étend à l'est et à l'ouest de la rivière Gatineau.

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