Ce communiqué a été publié le 1 mai 2012. L'information dans ce communiqué pourrait ne plus être à jour et certains liens pourraient ne plus être fonctionnels.
Gatineau, le 1
er mai 2012. – Grâce à un marché de la revente toujours vigoureux qui a engendré des revenus records en droits de mutation pour une deuxième année consécutive, la Ville de Gatineau affiche un surplus net de 11 876 000 $ à l'issue de l'exercice financier de 2011.
« Ce surplus budgétaire démontre une saine gestion des finances de la Ville. Je félicite les membres du conseil et l'administration municipale de Gatineau pour leur travail. Le conseil municipal se penchera sur l'utilisation de ce surplus de près de 11,9 millions de dollars dans le cadre de l'étude du budget de 2013 », a déclaré le maire de Gatineau, monsieur Marc Bureau.
De son côté, monsieur Luc Montreuil, conseiller municipal et président du Comité des immobilisations et du budget, a affirmé : « Outre les revenus de droits de mutation plus élevés, d'autres revenus ont été supérieurs à nos prévisions, notamment en ce qui a trait aux amendes. Par ailleurs, nous avons réalisé d'importantes économies au chapitre du déneigement et de la gestion de la dette. »
Afin de se conformer à l'une des recommandations du vérificateur général de la municipalité, la Ville a aussi dévoilé un surplus comptable de 33 067 000 $. Ce surplus, qui correspond à celui transmis au ministère des Affaires municipales, des Régions et de l'Occupation du territoire (MAMROT), représente l'excédent de fonctionnement de l'année 2011 à des fins fiscales.
Au fil des ans, pour en arriver à un surplus net, l'administration municipale a retranché du surplus comptable les sommes à verser dans diverses réserves (fonds d'auto-assurances, régimes de retraites, réserve cycle de vie, etc.), les montants nécessaires pour honorer les contrats et les commandes octroyés durant l'exercice financier ainsi que les budgets reportés pour compléter les projets en cours de réalisation. Ce surplus net représente la marge de manoeuvre dégagée et qui est réellement disponible pour financer et bonifier des projets structurants.
Gatineau, le 1
er mai 2012. – Grâce à un marché de la revente toujours vigoureux qui a engendré des revenus records en droits de mutation pour une deuxième année consécutive, la Ville de Gatineau affiche un surplus net de 11 876 000 $ à l'issue de l'exercice financier de 2011.
« Ce surplus budgétaire démontre une saine gestion des finances de la Ville. Je félicite les membres du conseil et l'administration municipale de Gatineau pour leur travail. Le conseil municipal se penchera sur l'utilisation de ce surplus de près de 11,9 millions de dollars dans le cadre de l'étude du budget de 2013 », a déclaré le maire de Gatineau, monsieur Marc Bureau.
De son côté, monsieur Luc Montreuil, conseiller municipal et président du Comité des immobilisations et du budget, a affirmé : « Outre les revenus de droits de mutation plus élevés, d'autres revenus ont été supérieurs à nos prévisions, notamment en ce qui a trait aux amendes. Par ailleurs, nous avons réalisé d'importantes économies au chapitre du déneigement et de la gestion de la dette. »
Afin de se conformer à l'une des recommandations du vérificateur général de la municipalité, la Ville a aussi dévoilé un surplus comptable de 33 067 000 $. Ce surplus, qui correspond à celui transmis au ministère des Affaires municipales, des Régions et de l'Occupation du territoire (MAMROT), représente l'excédent de fonctionnement de l'année 2011 à des fins fiscales.
Au fil des ans, pour en arriver à un surplus net, l'administration municipale a retranché du surplus comptable les sommes à verser dans diverses réserves (fonds d'auto-assurances, régimes de retraites, réserve cycle de vie, etc.), les montants nécessaires pour honorer les contrats et les commandes octroyés durant l'exercice financier ainsi que les budgets reportés pour compléter les projets en cours de réalisation. Ce surplus net représente la marge de manoeuvre dégagée et qui est réellement disponible pour financer et bonifier des projets structurants.