La porteuse de pain à l’affiche au Théâtre de l’Île du 15 mai au 22 juin 2013
La pièce La Porteuse de pain, inspirée de l’oeuvre de Xavier de Montépin et de Jules Dornay, sera présentée au Théâtre de l’Île du 15 mai au 22 juin 2013. Elle prendra l’affiche du mercredi au samedi à 20 heures.
Caroline Yergeau signe l’adaptation et la mise en scène de cette production communautaire. Sa distribution est composée de Renée Amyot, Danielle Beauchemin, Jean-Pierre Beauquier, Louise Bonnet, Monique Brunel, André Michel Couture, Florence Delmas, Mariève Gauvreau-Presseau, Frédérick Habel, Eugénie Lemieux, Marc-Antoine Morin et Renaud Soublière.
Il y a une vingtaine d’années, Jeanne Fortier était reconnue coupable d’avoir assassiné un riche industriel, de l’avoir volé et d’avoir incendié son usine. Malgré ses efforts pour clamer son innocence, elle était emprisonnée et perdait la garde de ses deux enfants. L’artiste peintre Étienne Castel était présent lors de son arrestation et avait tracé une esquisse de la scène. Au moment où il reprend le travail sur son tableau, deux décennies plus tard, le dossier revient à l’avant-scène. Armé de son esprit de détective, il mène sa propre enquête. Il nous invite à revivre les moments passés et présents, fortement teintés d’intrigues et de manigances. Les circonstances qui sont progressivement révélées l’amènent lui-même ainsi que quelques personnes de son entourage à douter de plus en plus de la culpabilité de la condamnée qui, récemment, s’est évadée de prison et a pris un faux nom, toujours décidée à rétablir les faits et à retrouver ses deux enfants. De nouvelles preuves s’accumulent. L’identité du véritable coupable sera-t-elle finalement connue?
C’est par la série télévisée que la directrice artistique du Théâtre de l’Île, Sylvie Dufour, encore enfant, a connu La Porteuse de pain. « Jeanne Fortier a été ma première héroïne. J’étais captivée par cette femme injustement accusée qui prenait tous les moyens pour proclamer son innocence. À chaque épisode, j’étais rivée au petit écran dans l’espoir de voir si elle réussirait à s’en sortir. J’ai choisi cette pièce parce que j’ai voulu partager avec le public du Théâtre de l’Île ce bon souvenir d’enfance. De plus, je trouvais que, pour les acteurs, le défi était de taille. C’était pour eux l’occasion de vivre une nouvelle expérience en côtoyant un texte qui a connu un immense succès à travers le temps et dont Caroline Yergeau nous livre ici une adaptation libre. »
Les billets, qui coûtent 16 $ pour les adultes, 13 $ pour les aînés et 11 $ pour les étudiants, sont en vente au Centre culturel du Vieux-Aylmer (120, rue Principale), du lundi au vendredi, de 9 h à midi et de 13 h à 20 h, et les samedis et les dimanches, de midi à 16 h; au Théâtre de l’Île (1, rue Wellington), du lundi au samedi, de midi à 20 h 30; à la billetterie de la salle Jean-Despréz (25, rue Laurier), du lundi au vendredi, de 8 h 30 à 11 h et de midi à 16 h; ainsi que le jour du spectacle, à la porte, dans l’heure qui précède le début de la représentation.
Il est également possible de se procurer des billets en composant le 819 243-8000.
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